Jeanne lui reproche ses absences. Chacune a ses propres souvenirs, tranches de vie qui se juxtaposent des années 30 aux années 70. L’enchaînement de souvenirs de différentes périodes permet d’établir le jeu de miroir. Les exigences de l’une ne trouvent en écho que l’incompréhension de l’autre. Et pourtant ,entre l’une et l’autre, «de si tendres liens»…
Voyage en un acte au coeur de la mémoire qui suscite pour le spectateur souvenirs personnels, sourires et émotions. II nous dit juste le besoin d’être aimé. Et d’aimer.
Le spectacle « De si tendres liens » de la Compagnie « Les Neauphles » est joué par deux comédiennes Fanny Bonardi et Cécile Tissier. Le texte de Loleh Bellon est enrichi d’extraits de « Toutes les femmes sauf une » de Maria Pourchet. Les comédiennes interprètent également des chansons accompagnées par un pianiste Ruben Miguel Carrillo qui par ailleurs intervient tout au long de la pièce. La mise en scène est de Nathalie Barolle.